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Les Éditions Réalistes

À travers 6 petits livres de poche (entre 15.- et 23.- pièce), les Éditions Réalistes mettent en avant différent.es auteurs et autrices aux esthétiques hyper variées. Ugo Bienvenu, l’un des fondateurs des Éditions réalistes, défend avoir voulu mettre à disposition d’auteurs.trices (et de lui) « une cour de récré », soit un espace de création qui laisse juste la part belle à leur imagination. Une volonté qui se ressent directement dans la pluralité des genres et des récits proposés. Leur seule contrainte se trouve dans le format limité (15x11cm environ) mais cela n’atténue en rien l’expérience. Au contraire. C’est petit mais hyper intense. Et pratique aussi.
 
Que tu veuilles en prendre un à l’unité ou plusieurs sous forme de bundle (3 pour 50.- mais dans ce cas il faudra nous écrire un petit mail), t’y trouveras forcément ton compte (ou celui d’un.e ami.e, c’est bientôt les fêtes de fin d’année)!

- Bettica Betanica (Romane Granger) qui traite de mystérieuses disparitions qui conduisent deux enquêteurs.trices en montagne dans un établissement pour le moins particulier.
- Errance (Jonathan Djob Nkondo) qui présente parallèlement, dans un style noir et blanc sobre et par un récit muet, 2 individus qui, en plus de résider dans la même ville, ont plus en commun que ce que l’on pourrait croire.
- Horizons magnétiques (Valentin Giulli) : rencontre Sarah dans un récit balbutiant entre le rêve et la réalité où l’on fait face à ses questionnements existentiels, cherchant désespérément un sens à sa vie.
- Malavalle (Josselin Facon, Ugo Bienvenu) : récit médiéval dans lequel on suit les errances d’un chevalier banni et excommunié à la recherche d’une raison d’être.
- Tous genres confondus (Paul Lacolley) dans lequel se déploie le personnage Rose, une bodybuildeuse et travailleuse du sexe qui se retrouve, parallèlement à la dégradation de la santé de son chien, prise par un sentiment d’oppression grandissant, la faute à un système patriarcal dans lequel elle ne répond pas aux attentes.
- Les os creux, la tête pleine (Nicolas Pegon) : Georges a 17 ans et il en veut à tout le monde. Depuis toujours. Mais ce matin, quelque chose est différent. Il veut se rendre armé dans son lycée. Récit hyper sombre mais honnête sur les névroses américaines.



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